Invitation au voyage, un récital chant lyrique – piano, mélodies françaises, espagnoles, orientales, siciliennes et napolitaines.
Cynthia Ranguis, Soprano - Céline Gimbert, Piano
• L’Invitation au voyage, mélodie d’Henri Duparc sur un poème de Charles Baudelaire – invitation à un voyage à la fois réel et imaginaire, un voyage amoureux au pays des rêves où l’auteur fusionne avec sa bien-aimée et où le paysage se superpose pour se fondre dans le visage de l’aimée.
• Clair de lune (menuet), mélodie de Gabriel Fauré sur un poème de Paul Verlaine – Voyage dans le paysage émotionnel de l’âme au contact de la Nature et de la nuit au clair de lune, où le paysage s’anime et s’humanise à travers des sentiments qui passent progressivement de la joie à la mélancolie pour finir vers l’apaisement du poète.
• Toujours, mélodie de Gabriel Fauré sur un poème de Charles Grandmougin -
Un amour dévasté par la rupture où le désespoir exprime son immense détresse la considérant comme plus puissante qu’une nuit sans étoile, qu’une mer desséchée ou qu’un printemps sans fleurs.
• L’Avertimento, dédicacée à Madame la Comtesse de Ségur, mélodie extraite du cycle Venezia (en dialecte Vénitien) de Reynaldo Hahn sur un poème de Pietro Burati – Ne cours pas si vite galant homme car la belle que tu courtise pourrait bien te meurtrir le coeur ...
• La Barcheta, mélodie extraite du cycle Venezia (en dialecte Vénitien) de Reynaldo Hahn sur un poème de Pietro Burati – Une escapade en barque au clair de lune dans la lagune vénitienne, où la jeune Ninette se laisse séduire par le vent léger, Zéphyr, caressant son épaule, effleurant sa poitrine légère sous le regard médusé du gondolier Toni.
• L’alba separa dalla luce l’ombra, mélodie extraite du cycle 4 canzoni di Amaranta de Francesco Paolo Tosti sur un poème de Gabriele D’Annunzio – L’aube sépare l’ombre de la lumière… ô tristes étoiles éteignez vos feux incorruptibles ! Je dois mourir, … Enveloppe-moi, ô nuit, dans ton sein maternel, pendant que la terre pâle se baigne dans la rosée mais que de mon sang naisse l’aurore … le soleil éternel !
• Barcarolle opus 30 n°2 de Félix Mendelssohn
• Hébé, chanson grecque dans le mode phrygien d’Ernest Chausson sur un poème de L Ackermann – La gracieuse et éternelle Déesse Hébé, s’avance majestueusement portant l’échanson divin qui versera, dans les coupes des Dieux, le précieux Nectar.
• Diplà sti Thàlassa, chant populaire Grec, harmonisé par Maurice Trubert, arrangement Céline Gimbert – réécriture du poème en grec Cynthia Ranguis – Hélas ! Mon bien aimé s’en est allé prenant la mer … Dis-moi, O mer frémissante, quand me le rendras-tu ? A t-il trouvé un autre cœur à aimer ou est-ce ta puissante vague qui me l’a enlevé ?...
• Abballati, mélodie populaire sicilienne (en dialecte sicilien), transcription Luigi Infantino
• Lu me’ scecco, mélodie populaire sicilienne (en dialecte sicilien), transcription Luigi Infantino – Mon joli petit âne qui chantait comme un ténor, qui me rendait tant de services… le pauvre mon petit âne a été tué, son chant Hi Han me manque...
• Serenata a Saruzza, mélodie populaire sicilienne (en dialecte sicilien), transcription Luigi Infantino – Saruzza, je chante désespérément à ta porte depuis deux heures sans savoir si tu dors ou si tu m’écoutes. Cruelle Saruzza paraît à la fenêtre ou bien je meurs...
• Ciuri Ciuri, mélodie populaire sicilienne (en dialecte sicilien), transcription Luigi Infantino
Heureux celui qui a une belle femme, elle lui portera chance. Malheureux celui qui en a une mauvaise elle lui arrachera le coeur… Pourquoi ne me réponds-tu pas, tu sais que je ne peux pas rester sans toi !
• Helwa ya Baladi, chanson traditionnelle orientale en langue arabe – Beau, mon pays ! Le théâtre de tous mes souvenirs, de mon premier amour, comment puis-je oublier toutes ces histoires qui ont marqué mon enfance et toute ma vie. Beau, mon pays ces deux mots font une jolie chanson…
• Mélodie orientale, opus 2 n°2 de Nikolaî Rimsky-Korsakov – Le Rossignol charmé par la Rose, jour et nuit chante pour elle mais la Rose ignore ses chansons. Sur sa lyre un poète brûlé par la passion chante pour une Demoiselle mais elle ne sait pas pour qui sont ses chants.
• Zdiès Haracho, opus 21 n°7 de Sergei Rachmaninov sur un poème de Violetta Urmana - un rêve, une apparition au loin : la rivière s’enflamme… il n’y a que Dieu et moi, le grand pin, les fleurs et toi … mon rêve.
• Amor y Odio, Tonadilla n°1 (en espagnol) extraite du cycle des 12 Tonadillas d’Enrique Granados sur un poème de F Periquet – Sentir mon âme pleine d’amour pour quelqu’un qui m’oublie, sans qu’une lumière encourageante n’émerge des ombres de ma vie.
• El tralala y el Punteado, Tonadilla n°7 (en espagnol) extraite du cycle des 12 Tonadillas d’Enrique Granados sur un poème de F Periquet - Causes toujours ! Moi, je continue de chanter car je garde mes secrets pour moi !
• El mirar de la Maja, Tonadilla n°5 (en espagnol) extraite du cycle des 12 Tonadillas d’Enrique Granados sur un poème de F Periquet – Mon regard brûle de passion et consume le jeune homme. Apeuré par tant de profondeur, celui-ci me tire sa révérence se protégeant de son Sombrero afin que mon regard de braise ne lui donne la mort.
• El majo timido, Tonadilla n°6 (en espagnol) extraite du cycle des 12 Tonadillas d’Enrique Granados sur un poème de F Periquet – Elle souhaiterait qu’il soit plus entreprenant mais s’en amuse qu’un temps car elle a d’autres chats à fouetter !
• La Maja de Goya, Tonadilla n°8 (en espagnol) extraite du cycle des 12 Tonadillas d’Enrique Granados sur un poème de F Periquet – Il n’y a pas une femme qui résiste au charme de Goya alors, pourquoi moi, je ne trouverais pas l’amour dans ses yeux ?
• Près des remparts de Séville, la Séguedille extrait de l’opéra Carmen de Georges Bizet sur un livret de Henri Meilhac et Ludovic Halévy, d'après la nouvelle de Prosper Mérimée – Carmen invite Don José à la suivre chez son ami Lillas Pastia pour boire du Manzania et danser la séguedille
Cynthia Ranguis, Soprano - Céline Gimbert, Piano
• L’Invitation au voyage, mélodie d’Henri Duparc sur un poème de Charles Baudelaire – invitation à un voyage à la fois réel et imaginaire, un voyage amoureux au pays des rêves où l’auteur fusionne avec sa bien-aimée et où le paysage se superpose pour se fondre dans le visage de l’aimée.
• Clair de lune (menuet), mélodie de Gabriel Fauré sur un poème de Paul Verlaine – Voyage dans le paysage émotionnel de l’âme au contact de la Nature et de la nuit au clair de lune, où le paysage s’anime et s’humanise à travers des sentiments qui passent progressivement de la joie à la mélancolie pour finir vers l’apaisement du poète.
• Toujours, mélodie de Gabriel Fauré sur un poème de Charles Grandmougin -
Un amour dévasté par la rupture où le désespoir exprime son immense détresse la considérant comme plus puissante qu’une nuit sans étoile, qu’une mer desséchée ou qu’un printemps sans fleurs.
• L’Avertimento, dédicacée à Madame la Comtesse de Ségur, mélodie extraite du cycle Venezia (en dialecte Vénitien) de Reynaldo Hahn sur un poème de Pietro Burati – Ne cours pas si vite galant homme car la belle que tu courtise pourrait bien te meurtrir le coeur ...
• La Barcheta, mélodie extraite du cycle Venezia (en dialecte Vénitien) de Reynaldo Hahn sur un poème de Pietro Burati – Une escapade en barque au clair de lune dans la lagune vénitienne, où la jeune Ninette se laisse séduire par le vent léger, Zéphyr, caressant son épaule, effleurant sa poitrine légère sous le regard médusé du gondolier Toni.
• L’alba separa dalla luce l’ombra, mélodie extraite du cycle 4 canzoni di Amaranta de Francesco Paolo Tosti sur un poème de Gabriele D’Annunzio – L’aube sépare l’ombre de la lumière… ô tristes étoiles éteignez vos feux incorruptibles ! Je dois mourir, … Enveloppe-moi, ô nuit, dans ton sein maternel, pendant que la terre pâle se baigne dans la rosée mais que de mon sang naisse l’aurore … le soleil éternel !
• Barcarolle opus 30 n°2 de Félix Mendelssohn
• Hébé, chanson grecque dans le mode phrygien d’Ernest Chausson sur un poème de L Ackermann – La gracieuse et éternelle Déesse Hébé, s’avance majestueusement portant l’échanson divin qui versera, dans les coupes des Dieux, le précieux Nectar.
• Diplà sti Thàlassa, chant populaire Grec, harmonisé par Maurice Trubert, arrangement Céline Gimbert – réécriture du poème en grec Cynthia Ranguis – Hélas ! Mon bien aimé s’en est allé prenant la mer … Dis-moi, O mer frémissante, quand me le rendras-tu ? A t-il trouvé un autre cœur à aimer ou est-ce ta puissante vague qui me l’a enlevé ?...
• Abballati, mélodie populaire sicilienne (en dialecte sicilien), transcription Luigi Infantino
• Lu me’ scecco, mélodie populaire sicilienne (en dialecte sicilien), transcription Luigi Infantino – Mon joli petit âne qui chantait comme un ténor, qui me rendait tant de services… le pauvre mon petit âne a été tué, son chant Hi Han me manque...
• Serenata a Saruzza, mélodie populaire sicilienne (en dialecte sicilien), transcription Luigi Infantino – Saruzza, je chante désespérément à ta porte depuis deux heures sans savoir si tu dors ou si tu m’écoutes. Cruelle Saruzza paraît à la fenêtre ou bien je meurs...
• Ciuri Ciuri, mélodie populaire sicilienne (en dialecte sicilien), transcription Luigi Infantino
Heureux celui qui a une belle femme, elle lui portera chance. Malheureux celui qui en a une mauvaise elle lui arrachera le coeur… Pourquoi ne me réponds-tu pas, tu sais que je ne peux pas rester sans toi !
• Helwa ya Baladi, chanson traditionnelle orientale en langue arabe – Beau, mon pays ! Le théâtre de tous mes souvenirs, de mon premier amour, comment puis-je oublier toutes ces histoires qui ont marqué mon enfance et toute ma vie. Beau, mon pays ces deux mots font une jolie chanson…
• Mélodie orientale, opus 2 n°2 de Nikolaî Rimsky-Korsakov – Le Rossignol charmé par la Rose, jour et nuit chante pour elle mais la Rose ignore ses chansons. Sur sa lyre un poète brûlé par la passion chante pour une Demoiselle mais elle ne sait pas pour qui sont ses chants.
• Zdiès Haracho, opus 21 n°7 de Sergei Rachmaninov sur un poème de Violetta Urmana - un rêve, une apparition au loin : la rivière s’enflamme… il n’y a que Dieu et moi, le grand pin, les fleurs et toi … mon rêve.
• Amor y Odio, Tonadilla n°1 (en espagnol) extraite du cycle des 12 Tonadillas d’Enrique Granados sur un poème de F Periquet – Sentir mon âme pleine d’amour pour quelqu’un qui m’oublie, sans qu’une lumière encourageante n’émerge des ombres de ma vie.
• El tralala y el Punteado, Tonadilla n°7 (en espagnol) extraite du cycle des 12 Tonadillas d’Enrique Granados sur un poème de F Periquet - Causes toujours ! Moi, je continue de chanter car je garde mes secrets pour moi !
• El mirar de la Maja, Tonadilla n°5 (en espagnol) extraite du cycle des 12 Tonadillas d’Enrique Granados sur un poème de F Periquet – Mon regard brûle de passion et consume le jeune homme. Apeuré par tant de profondeur, celui-ci me tire sa révérence se protégeant de son Sombrero afin que mon regard de braise ne lui donne la mort.
• El majo timido, Tonadilla n°6 (en espagnol) extraite du cycle des 12 Tonadillas d’Enrique Granados sur un poème de F Periquet – Elle souhaiterait qu’il soit plus entreprenant mais s’en amuse qu’un temps car elle a d’autres chats à fouetter !
• La Maja de Goya, Tonadilla n°8 (en espagnol) extraite du cycle des 12 Tonadillas d’Enrique Granados sur un poème de F Periquet – Il n’y a pas une femme qui résiste au charme de Goya alors, pourquoi moi, je ne trouverais pas l’amour dans ses yeux ?
• Près des remparts de Séville, la Séguedille extrait de l’opéra Carmen de Georges Bizet sur un livret de Henri Meilhac et Ludovic Halévy, d'après la nouvelle de Prosper Mérimée – Carmen invite Don José à la suivre chez son ami Lillas Pastia pour boire du Manzania et danser la séguedille