Quand j’étais à Paris et que je travaillais encore dans la mode, il y a quelque chose qui me dérangeait beaucoup, c’était le procédé de teinture, des trucs hyper chimiques en quantité astronomique. A l’époque on voyait d’ailleurs beaucoup de documentaires en Inde et au Bangladesh, mais aussi en Europe, ou on voyait tous ces produits déversés dans nos rivières. Je me suis donc tourné vers les teintures naturelles. C’est plus cher, plus long, mais aussi plus propre. Il faut savoir que dans le milieu de la mode, il y a un réel intérêt pour le Japon, sa culture raffinée et son artisanat. C’est d’ailleurs très présent dans la mode là bas. J’ai eu la chance d’y aller plusieurs fois, et c’est en m’intéressant aux imprimés sur place que j’ai découvert cette technique. Donc en fait, c’est vraiment grâce à la mode que je suis allé vers ça.
Après, j’utilise effectivement les techniques du shibori, donc japonaise, mais pas que. Il y a d’autres techniques plus ou moins similaire, que ce soit en Asie ou en Afrique. Moi je mélange un peu toutes ces inspirations, et j’expérimente beaucoup
Vernissage le 15 Aout à 18h
Après, j’utilise effectivement les techniques du shibori, donc japonaise, mais pas que. Il y a d’autres techniques plus ou moins similaire, que ce soit en Asie ou en Afrique. Moi je mélange un peu toutes ces inspirations, et j’expérimente beaucoup
Vernissage le 15 Aout à 18h