Festival de danse Traces Contemporaines : we are Monchichi > W.A.M.

Du 15 au 18 septembre 2022 à Cahors.

Cette année le festival accueille une marraine, Germaine Acogny & un parrain Babacar Cissé pour une édition à deux voix "Soyons jour, Soyons nuit".

Comme une évidence, le festival réunit une femme et un homme pour donner corps à la ligne artistique à deux voix > "Soyons jour, Soyons nuit". Quelle joie d’accueillir à Cahors la chorégraphe franco-sénégalaise Germaine Acogny, complice de Maurice Béjart et figure majeure de la danse en Afrique. La fondatrice de L’École des Sables au Sénégal sera la marraine de ce prochain festival aux côtés de Babacar Cissé, chorégraphe et danseur de la Compagnie Les Associés Crew en France, qui lui, en sera le parrain. Deux êtres, deux histoires, deux corps, deux générations, deux sensibilités qui révèlent les racines et l’esprit de la danse. Deux créateurs qui incarnent la danse Afro-contemporaine et la danse Hip Hop. Ce mariage artistique inédit et envoûtant donnera naissance à la carte blanche > "Soyons jour, Soyons nuit", dévoilée lors de l’ouverture. Le Festival programme, en avant-première, à l’Auditorium la prochaine création de Babacar Cissé, un solo intitulé La dernière danse du Monarque, avec la participation exceptionnelle de Germaine Acogny. La venue inédite et la collaboration artistique exceptionnelle de Germaine Acogny (Sénégal) et de Babacar Cissé (France), deux légendes vivantes et engagées pour l’art chorégraphique, vont mettre face à face une danse diurne et une danse nocturne.

Du 15 au 18 septembre 2022, la 14e édition du festival de danse Traces Contemporaines sera un éloge de la relation et de la rencontre. Corps diurnes et corps nocturnes, corps solaires et corps lunaires vont, ensemble, faire trembler le jour et la nuit. Quatre jours où les spectateurs vont se laisser saisir, toucher, bouleverser, traverser par un déferlement de corps…

Billetterie : Office de tourisme de Cahors
Le duo d’artistes franco-allemand Wang Ramirez, mondialement connu pour sa fusion sensible de ballet classique, de danse contemporaine et de hip-hop, présente
une pièce imaginative, colorée et douce pour les enfants et leurs familles. Sais-tu ce
qu’est un monchichi ? C’est un singe en peluche qu’on appelle aussi Kiki et qui a fait
rêver des milliers d’enfants. « Nous sommes tous des monchichis » raconte à quel
point la rencontre avec « l’autre » est un vertige beau et passionnant. Sur scène, la
danseuse, née à Taïwan, vit à Paris, le danseur originaire de Naples habite à Berlin.
L’un et l’autre cherchent comment s’entendre et comment s’accorder. Comment se
rencontrer quand on a de bonnes raisons de s’éviter ? Comment s’entendre quand les
remparts sont hauts ? Quelle langue choisir ? Quoi faire devant l’encombrement causé par les stéréotypes culturels ? Quelle est cette danse du tissage et de la jonction,
de l’interstice et de la fusion ? Cette danse joue au chat et à la souris ; elle travaille
les forces antagonistes comme un sculpteur sa matière. Ici, les corps ont leur ironie,
leur désir de joie, parfois leur mélancolie. Shihya Peng et Marco Di Nardo tendent leur
corps, comme deux miroirs déformants, où l’on se découvre davantage qu’on se reconnaît. Ils se portent, s’envolent, tombent, ne se supportent plus, puis se relèvent et
marchent ensemble.

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