Un formidable seul en scène nous plonge au cœur de l’histoire et nous raconte comment la société de l’Ancien Régime a mis fin à ses privilèges en une seule nuit, celle du 4 août 1789.
Après Je m’en vais mais l’État demeure, Hugues Duchêne adapte le roman historique de Bertrand Guillot : L’abolition des privilèges. Un solo virtuose porté par Maxime Pambet, plongeant les spectateurs en plein cœur des États généraux de 1789. C’est un État en déficit chronique, où les plus riches échappent à l’impôt. Un régime à bout de souffle. Un peuple à bout de nerfs, qui réclame justice et ne voit rien venir. Un pays riche mais bloqué, en proie aux caprices d’un climat déréglé. Telle est la France à l’été 1789. Jusqu’à ce qu’en une nuit, à Versailles, tout bascule. C’est la Nuit du 4 août.
Joué dans un espace quadrifrontal par un acteur incarnant une dizaine de personnages, L’abolition des privilèges est un sprint donnant le sentiment que l’Histoire s’est soudainement accélérée.
Adaptation et mise en scène : Hugues Duchêne
Avec : Maxime Pambet, en alternance avec Maxime Taffanel et Oscar Montaz ; et Hugues Duchêne en alternance avec Baptiste Dezerces et Matéo Cichacki
Régie générale, son et lumière : Jérémie Dubois, en alternance avec Thomas Le Hetet et Léo Delorme
Collaboration artistique et création vidéo : Pierre Martin Oriol
Après Je m’en vais mais l’État demeure, Hugues Duchêne adapte le roman historique de Bertrand Guillot : L’abolition des privilèges. Un solo virtuose porté par Maxime Pambet, plongeant les spectateurs en plein cœur des États généraux de 1789. C’est un État en déficit chronique, où les plus riches échappent à l’impôt. Un régime à bout de souffle. Un peuple à bout de nerfs, qui réclame justice et ne voit rien venir. Un pays riche mais bloqué, en proie aux caprices d’un climat déréglé. Telle est la France à l’été 1789. Jusqu’à ce qu’en une nuit, à Versailles, tout bascule. C’est la Nuit du 4 août.
Joué dans un espace quadrifrontal par un acteur incarnant une dizaine de personnages, L’abolition des privilèges est un sprint donnant le sentiment que l’Histoire s’est soudainement accélérée.
Adaptation et mise en scène : Hugues Duchêne
Avec : Maxime Pambet, en alternance avec Maxime Taffanel et Oscar Montaz ; et Hugues Duchêne en alternance avec Baptiste Dezerces et Matéo Cichacki
Régie générale, son et lumière : Jérémie Dubois, en alternance avec Thomas Le Hetet et Léo Delorme
Collaboration artistique et création vidéo : Pierre Martin Oriol