L'atelier-Galerie Le 10 accueil l'artiste Cathy Goergler dans le cadre d'une exposition intitulée "L'ombre d'un instant".
A propos de l'artiste :
"Artiste plasticienne et enseignante en arts, installée dans les Landes, je
partage ma vie entre la création et la transmission, deux pratiques qui
dialoguent et s'enrichissent mutuellement. Peindre, dessiner, sculpter :
autant de manières d'explorer le mouvement, d'habiter l'instant, l'émotion
fugace.
C'est au contact de la danse contemporaine qu'est né ce travail sur le
mouvement. Ce langage corporel libre, puise autant dans la simplicité
d'un geste que dans la tension d'un déséquilibre. Dessiner la danse, c'est
tenter de retenir l'éphémère, une énergie, un souffle. «Dansiner», comme
j'aime à dire, c'est être à mi-chemin entre le dessin et la danse, c'est suivre
le mouvement des corps, à l'encre et au pinceau, dans un geste immédiat,
libre et vibrant. À l'atelier, les dessins ont pris corps dans l'argile, faisant
émerger un dialogue entre formes sculptées et ombres projetées.
Une exposition à L'Airial-Galerie - Espace Marc Petit, à Mimizan, et des
performances de dessin en direct lors de spectacles de danse classique ont nourri cette respiration graphique, ou trait, corps et musique s'accordent.
En quête de nouveaux rythmes , je me suis rapprochée de l'univers du flamenco, danse de contrastes, de tensions contenues et d'élans suspendus. Entre zapateados, braceos, floreos et palmas, la ligne court et la couleur donne de la voix.
Mes dessins ne sont pas des portraits mais des présences. Ils n'illustrent pas la danse, ils l'évoquent, traduisent l'intensité du moment en une émotion vibrante et instinctives".
- Le vernissage a lieu le 25 juillet
- L'exposition est visible du 23 juillet au 24 août
A propos de l'artiste :
"Artiste plasticienne et enseignante en arts, installée dans les Landes, je
partage ma vie entre la création et la transmission, deux pratiques qui
dialoguent et s'enrichissent mutuellement. Peindre, dessiner, sculpter :
autant de manières d'explorer le mouvement, d'habiter l'instant, l'émotion
fugace.
C'est au contact de la danse contemporaine qu'est né ce travail sur le
mouvement. Ce langage corporel libre, puise autant dans la simplicité
d'un geste que dans la tension d'un déséquilibre. Dessiner la danse, c'est
tenter de retenir l'éphémère, une énergie, un souffle. «Dansiner», comme
j'aime à dire, c'est être à mi-chemin entre le dessin et la danse, c'est suivre
le mouvement des corps, à l'encre et au pinceau, dans un geste immédiat,
libre et vibrant. À l'atelier, les dessins ont pris corps dans l'argile, faisant
émerger un dialogue entre formes sculptées et ombres projetées.
Une exposition à L'Airial-Galerie - Espace Marc Petit, à Mimizan, et des
performances de dessin en direct lors de spectacles de danse classique ont nourri cette respiration graphique, ou trait, corps et musique s'accordent.
En quête de nouveaux rythmes , je me suis rapprochée de l'univers du flamenco, danse de contrastes, de tensions contenues et d'élans suspendus. Entre zapateados, braceos, floreos et palmas, la ligne court et la couleur donne de la voix.
Mes dessins ne sont pas des portraits mais des présences. Ils n'illustrent pas la danse, ils l'évoquent, traduisent l'intensité du moment en une émotion vibrante et instinctives".
- Le vernissage a lieu le 25 juillet
- L'exposition est visible du 23 juillet au 24 août
